2024, un rendez-vous avec un homme !

19 - Avril - 2023

En février 2024, le peuple sénégalais est appelé aux urnes pour choisir son cinquième président de la république. Ce rendez-vous historique, hautement important en raison de la teneur et de la tournure qu’ont pu prendre les évènements de la scène politique sénégalaise depuis les proches lendemains de la présidentielle de 2019, est d’autant plus crucial que les sénégalais, cette fois et pour une fois depuis des décennies, sont attendus pour réellement choisir au lieu de se débarrasser d’un président, dont le régime aux abois a fini de fâcher, décevoir et irriter pour n’avoir pas été à la hauteur des urgences et défis sur lesquels il était attendu, surtout pour avoir nourri l’espérance de les pouvoir résoudre parce qu’ayant été des promesses électorales fortes. Pour choisir, il faut d’abord et avant tout avoir une pluralité d’options.

Mais pour choisir le bon, il faut savoir faire la part et le poids de chaque chose, savoir évaluer, peser, délibérer… Un tel exercice, pour être efficace ou simplement bon, demande un esprit aiguisé, capable de le faire pour soi et apte à orienter les autres dans leur choix. Pour qui connait le peuple, bien plus émotif que raisonné dans les situations, choisir le bon n’a jamais été pour lui à portée de main.

Dans cette dynamique, point n’est besoin de faire remarquer que les prétendants sont exagérément nombreux qui veulent briguer le mandat de président de la république. Dans cette pléthore de candidats, combien sont-ils qui répondent à la rigueur que commandent les critères pour candidater à ce poste, au sérieux que revêt le statut de président de la république ?

A l’évidence, peu sont qui se soucient d’être au rendez-vous de toutes les exigences requises, intéressés qu’ils sont souvent par un seul objectif : se saisir de la chaise présidentielle. Et cela, peut-être et a bien des égards, pour enfin mettre fin à leurs « soucis d’argent », sans doute pour, au-delà du prestige que procure ce pouvoir, mettre famille, amis et proches collaborateurs soumis à l’abri du besoin.

Malheureux est ce pays qui voient se succéder à sa tête, au fil des années, des dirigeants trop matérialistes pour s’intéresser à la cause populaire, d’une légèreté morale assez flagrante, d’une absence écœurante de patriotisme, d’une cécité citoyenne incurable, d’un manque insolent de retenue, qui, pour ces raisons et bien d’autres, sont incapables de s’en tenir à une ligne idéologique directrice de leur attitude, incapables de sacrifier aux renoncements que commande la parole donnée pour honorer l’engagement pris, incapables de respecter les injonctions strictes et claires de la constitution, qu’ils ont fini de remplir de ratures a force de la tripatouiller incessamment pour des désirs fantaisistes et claniques.    

Dans la perspective d’un changement radical de cette situation, force est de comprendre que l’heure est venue de s’en remettre à un homme, certes, mais un véritable homme d’Etat, a un citoyen, oui, mais un citoyen hors des normes que connait la pratique intéressée et instable de la politique sénégalaise. C’est le moment, pour chaque sénégalaise et chaque sénégalais, de pencher résolument et raisonnablement vers un candidat méritant parce que soucieux d’un avenir prometteur de développement et de progrès pour le pays, un candidat déterminé à reconstruire et à redresser le Sénégal afin de lui redonner sa souveraineté sur tous les plans, un homme apte parce que compétent, doué d’expériences managériales et expert dans le domaine des affaires. Cet homme rompu à la tâche du travail bien fait, imbu de valeurs morales, pétri d’un amour et d’un respect sans conteste pour son pays et pour ses concitoyens est le candidat idéal pour 2024.

 Dans ce contexte de violences et de perturbations socio-politiques, le Sénégal a besoin d’un dirigeant mature, serein et hautement conscient du danger qu’encourt un pays qui verserait dans les affrontements de la rue pour l’en préserver. Le bon profil pour le Sénégal aujourd’hui, c’est un homme d’Etat dont l’expertise lui permettrait de le relever des multiples dérapages institutionnels et démocratiques qu’il a subis et surtout de tous les coups bas financiers et fonciers que lui ont infligés dirigeants et individus a la boulimie pécuniaire incommensurable. Cet homme, qui a assumé et assuré avec brio les responsabilités de la deuxième plus haute fonction de l’Etat, alors même qu’il y était directement parachuté, a fini de montrer que la gestion réussie fait le credo de son leadership, que la performance est ce qui accompagne son parcours pour atteindre ses objectifs et relever ses défis.

Abdoul MBAYE, Président de l’Alliance pour la Citoyenneté et  le Travail (ACT), est un révolutionnaire pacifique. En avant de son action politique, le dialogue constructif. En attestent les échanges et rencontres citoyennes constamment menés avec ses compatriotes sénégalais de diverses couches sociales des différentes contrées du pays. Au cœur de ses échanges, l’éveil de la conscience critique du citoyen afin de lui fournir les outils mentaux et intellectuels propres à lui faire comprendre les mécanismes pour se prémunir de la tromperie et des fourbes politiciennes.

Dès son entrée en politique, il s’est posé comme un acteur différent par une attitude assumée, contraire aux pratiques politiciennes jusqu’ici connues. Son appel à la « politique autrement » (slogan original de l’ACT), n’est autre que l’impérieuse nécessité pour chaque citoyenne et chaque citoyen de faire l’effort et le sacrifice du désintérêt, de la responsabilité individuelle, de l’engagement citoyen et du don de soi pour la nation afin de contribuer à l’édifice constructif du pays. Visionnaire dans ses actes, élégant dans la posture comme dans le discours, la critique de ses dires, la pertinence de ses analyses et la profondeur de son propos se retrouvent aisément dans la simplicité de ses mots.

Sa foi au travail comme source de développement, à l’éthique comme guide de nos actions font qu’Abdoul Mbaye est le candidat capable de redonner espoir a une jeunesse désemparée, a la recherche d’un avenir mieux éclairé.         

Khady LY TENING

Directrice de l’école du parti ACT

 

  

 

 

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